Assemblée générale 2012

10ème Assemblée Générale Annuelle de FECO-France

La 10ème Assemblée Générale Annuelle de FECO-France s’ est tenue le 6 Octobre 2012, à St Just-le-Martel, à l’ occasion du 31ème Salon de la Caricature, du Dessin de Presse et d’ Humour, sur convocation envoyée en date du 4 Août à tous les adhérents, en présence du bureau constitué par Alain Roche, “Nalair”, président de FECO-France et président de séance, Jean-Marie Bertin, Trésorier, et Robert Rousso, Secrétaire.

L’ Auditoire se composait de 32 adhérents et de 7 invités, les adhérents absents, excusés et représentés étaient au nombre de 11.

Alain ouvrit la séance à 14 heures 30, et les points figurant à l’ ordre du jour furent successivement abordés :

- Il présenta le nouveau journal “Fecocorico”, évalua son audience et sollicita un apport plus affirmé des adhérents.
- Il cita ensuite la notable augmentation des effectifs, qui est sur le point d’ atteindre la centaine d’ adhérents. Ainsi FECO-France renforce sa position et peut devenir un interlocuteur notable.

- L’ Impact de cette progression se traduit par l’ intérêt qu’ il suscite auprès de certains organismes comme  la BNF ( Bibliothèque Nationale ), susceptible d’ accueillir un colloque ou une conférence organisée par FECO-France, ( Martine Mauvieux, du secteur Dessin de Presse à la BNF, invitée ), le salon de St Just  pourrait offrir la logistique en cas d’ une exposition internationale ( Gérard Vandenbroucke ).

- Une question s’ est posée d’ une manière générale : notre fédération, dont les moyens et les objectifs diffèrent d’ un syndicat, peut-elle aider la profession ? et comment ?
Le débat a permis de constater que notre pouvoir était plus que limité dans le monde du travail, que le web était un moyen d’ expression de plus en plus utilisé par les dessinateurs ( mail de notre collègue Pijet, du Québec ) et que ce media institutionnalisait la gratuité du travail.
Toutefois ce qui ressortit des échanges est que ce media pourrait, par contre-coup, diffuser largement les excès que, dans ce domaine, chacun a pu rencontrer, ( exemples d’ emploi de non-professionnels cités par Dominique Lémarié et Nicolas Peyrucq, invité ), ce type d’ information nécessitant une rubrique spéciale dans le site.

- En conséquence, Pesso ( webmaster ) annonca une refonte de ce dernier, afin de rendre la “profession plus visible”, ( selon les termes employés par Franck Raynal dans son mail ), ce qui passe par la multiplication des liens  : avec les organismes de presse, les organisateurs de festival et salons, les institutions, les divers syndicats.
Une telle diffusion pourrait permettre de véhiculer, à tous niveaux, non seulement les titres qui exploitent le “gratuit”, mais aussi des infos concernant les adhérents ( projet Pesso ), leurs expos, leurs bouquins etc.

- Enfin au sujet de l’ attribution de la carte FECO, notre collègue luxembourgeois Pol Leurs a demandé, dans un mail, pour quelle raison cette question se posait-elle ? Le problème de cette carte a été évoqué récemment, certains estimant, à juste raison, que le fait de l’ attribuer à des non professionnels pourrait porter préjudice à son accréditation devant l’ “Union des Journalistes”. Le débat n’ a pas permis de décider d’ une sélection préalable, difficile à mettre en oeuvre.
Selon encore Franck Raynal, il serait peut-être possible d’ évaluer les aptitudes professionnelles d’ un candidat par le biais de notre publication interne “Fecocorico”. Cette suggestion mérite qu’ on s’ y attarde. Il faut cependant bien considérer que si la carte FECO permet d’ octroyer à son détenteur des avantages assimilables à la carte de presse officielle, elle est à priori une “carte d’ Adhérent”. A nous - ce terme “à nous” parce que la décision ne doit pas appartenir pas à un “comité des sages” - de mettre la barre des adhésions à un niveau compatible avec une moyenne acceptable par tous.

Enfin notre distingué Trésorier Jean-Marie clôture de magistrale manière cette Assemblée Générale, l’ exposé de ses chiffres et de son bilan attestant indiscutablement que les finances de FECO-France ont bel et bien échappé à la crise qui a secoué l’ Europe.